Aujourd’hui, l’inclusion, c’est tout le temps. Une capture d’écran, et un oubli à identifier.
- jnacorrection
- 11 oct. 2024
- 1 min de lecture
Dernière mise à jour : 12 oct. 2024

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Ce post n’a pas vocation à prendre parti pour ou contre l’écriture inclusive.
Et mon opinion sur le sujet ne regarde que moi.
Cette façon d’écrire est relativement nouvelle, et c’est parfois difficile à maitriser.
Sur le smartphone en photo, nous pouvons lire « CONSEILLER.E DE CLIENTÈLE EXPÉRIMENTÉ.E (H/F) ».
Jusque là, pas grand chose à dire, le concepteur ou la conceptrice de cette publicité a fait le choix de l’écriture inclusive.
Dans la partie supérieure de la photo nous lisons « Faites grandir votre carrière de conseiller chez SG. »
En toute logique il faudrait utiliser l’écriture inclusive également. Ce qui donnerait « Faites grandir votre carrière de conseiller.e chez SG. »
Si nous voulons pousser le bouchon un peu plus loin, en écrivant conseiller.e ne faisons nous pas une faute dans la mesure ou le féminin de conseiller est conseillère. Accent qui n’apparait pas dans la version conseiller.e
Et pour aller encore un peu plus loin.
Ecrire « CONSEILLER.E DE CLIENTÈLE EXPÉRIMENTÉ.E (H/F) » n’est il pas un pléonasme, dans la mesure ou écrire « (H/F) » est redondant avec « CONSEILLER.E » et « EXPÉRIMENTÉ.E » ? Puisque la notion d’homme et femme est déjà incluse dans l’écriture inclusive.