
7 août 2024
Jean Navarro
10e épisode de notre série : « Dopage au Kénya ».
Pas de trêve olympique pour la chasse aux tricheurs, en l’occurrence une tricheuse.

Ce 6 août (2024) l’AIU (Athletics Integrity Unit) a suspendu, à titre provisoire, une athlète kényane, spécialiste du 3000 et du 5000m.
Il lui est reproché la prise d’EPO (Érythropoïétine).
Petit rappel d’un précédent épisode : cette substance est listée dans la catégorie S2 : Hormones peptiques, facteurs de croissance, substances apparentées et mimétiques.
Ces effets dopants sont l’accroissement de l’apport en oxygène et l’augmentation des capacités d’endurance.
Les effets secondaires néfastes sont une augmentation des risques de thromboses, d’infarctus du myocarde, d’attaques cérébrales, de cancer (source : Swiss Sport Integrity).
La lutte contre le dopage doit continuer.
La suite au prochain malheureux épisode !